Mon premier blog

Samedi, en after, c’était le lancement des sorties singles du Dope Tones Records, le label de Dj Ficus et Steven Wobblejay qui collaborent déjà sur ses podcasts radio (moitié de Caterva) à la Kulture.

Des l’arrivée,  On entend la bonne house de Steven Wobblejay, ancien bassiste de Steppah Huntah et du groupe de Funk jazz Japonais Sleep Walker en tournée européenne et même contrebassiste de Jazz manouche de Engé Helmstetter sous le nom de Joyce Ames, complice des soirées DopeTones de DJ Ficus et a sorti en 2016 ce latin afro track! Bonne basse avec voix à laquelle  dj Ficus rajoute l'exotisme joyeux de bonnes percus congas aux échos de cette jungle urbaine sous la basse et la voix "again again no!" I can't like eyo (ey know?) »  et bon dubstep en soutien!  Badasss me dit Wob!  Big  Bad ass sur les charbons ardents du pilon adouci et la balle dupstep sautillante!

Puis  les claviers  se calment en rêve Froesien de crique Aquatico -Dahotique aux claviers Tombé pour la France sur le dubstep!

 

Une voix de femme yemaya déesse de la mer chante "dancing in my living room just like jokes springing high still i rise i rise i rise" sur un bon clavier dupstep! La voix de cette sirène d'aquarIsium a la Crystal Waters et son enviEronnoment musical comme reflété  me fait rêver!

Puis de gais claviers flutes an cristaux  Chassolants colibrillants prennent gaiement le chemin de la jungle pour une sortie discographique dans 2 mois! Ça clate et clashe in space avec une bonne montée du clavier soul sur la basse et le step, les percus et le clavier qui continue salsa latin de wobblejay! De la bombe naturelle fleurissant du bitume taillée pour les dancefloor!

De Ficus, du bar bien insonorisé (si on venait que pour danser, on partirait si on allait pas aux toilettes, puis attiré par le son, passait un sas double vers le caveau sonore, c’est le miracle de la Kulture,  j’entends juste les vocaux et le beat en dessinant une rousse aux yeux verts, le mystère d' un camée au cou, puis du caveau une guitare agile à la Alex Grenier que j'avais chroniqué pour drum'n'bass.net!

 

Ficus me dit "c'est ca la drum, on peut planer sur les voix!"

Les danseurs tentent des pas, des chorés et crient « Blo blo blo blo »!

Steven revient asseoir une belle voix appelant à la "Révolution" sur les belles nappes au banquet sonore des cascades rythmique! 

Super cuivres au retour de ficus!

"Esprit jazz" me crie wobblejay! Belle voix éraillée "bliiiiind from my eeeeeyes" a la Patti Smith dans Horses (« take me up ») sur un bon rythme dupstep mais Wob me dit c’est Defected vocal house!

 

Puis "nanananananana!" d’une voix féminine acidulée de chanteuse brokenbeat d'avant 2010, déjà passée a la final de contretemps un peu "We used to call it love" de  Mayra Andrade vue ce soir au Préo d'Oberhausbergen! ça tombe bien, elle ne l’a pas chantée !

Ficus enchaine avec un scat « babalebop » bien rythmé d'Arrested Development "Everyday People" ), juste le scat rendu aux pygmées d'Afrique comme Herbie Hancock et les Headhunters le Watermelon Man de Mongo Santamaria!

 

Et ça passe de liane vocale d'Afrique  en liane latine salsa jusqu'au « Chekere Son »  d’Irakere en infrabasse vers l'Amérique du sud!

Puis un remix de la chute de Niagara vers L'amour a la plage  sans aouh ni cha cha cha ralentie sur de bonnes timbales chantée par Julie Feuerstein! Le single est enfin sorti le 3 octobre 2019: 67100 Feat Julia Fire -Mambo- Original Mix:

"At this end of summer for the third release,
67100 and his belove girl friend Julie Fire got inspired
to covered a famous song "l'amour @ la plage"
from a pop 80's french Duo named Niagara.

This Cover version by the producer 67100 take place in brazilian Beat along a groovy root doublebass where the melancolical sweet lead voice remind a tasty fool summer behind ."! 

D'après un instru de Ficus qui lui a fait penser à  "je dois m'en aller", elle n’est pas chanteuse normalement mais en mode Nouvelle vague (des chansons new-wave froide urbaine sombre reprises façon bossa nova (qui veut dire nouvelle vague en portugais en référence à la Nouvelle Vague cinématographique  de Godard et Belmondo en France) brésilienne  d’Antonio Carlos Jobim pour João Gilberto qu’on disait Desafinado! Nouvelle Vague, Bossa Nova et New Wave veulent dire la même chose dans trois langues et époques différentes!

Niagara en feu liquide, en gouttes liquides qui prennent l'âme!

 

Puis Ficus passe son remix de « Mudd club forever » de Jean-Cyp, Cyprien des Fat Badgers aka Leopard DaVinci  "we wanna take good times" que  Ficus a remixé bien sautillant dupstep! Le Café Des anges n’est plus ce qu’il était dand les années 90s,  Mudd club est mort, vivent G Phil,  Dope Tones, Tal « Soultronik» Stef , No stress Shingaling Rock Cee, Leopard Davinci! belle transition!

« Power power power power » en douceur!

« I get deeeeeeep » de Dj Le Roi et Roland Clarke, classique des sélections de Wobblejay! Qui commence a 6 du mat pour entrer en profondeur! Une fille aux boucles d'oreilles argentées  entre deep dans la nuit tachetée  de points d'étoiles  noires de ses bras habillés de dentelle! Mais je l'ai effrayée de mon briquet éclairant car elle a eu un incendie la semaine dernière!  

Puis bon piano housy obsessionnel!

Bonnes perculectros brazil!

Bons beats amplifies de « NO SEX UNTIL MARRIAGE » de Front 242 ralentis en percus!

 

En fait le dubstep c'est la démarche avec la new wave (ou house) de la «Nouvelle Vague» plus douce comme la bossa nova mais en électro sur laquelle on peut planer quand on est comme moi sentimentique et exotal!

Dans sa robe rouge, Audrey    ressemble a la lune tatouée d'ombres végétribales  tombée dans la grenade d'un cœur immense qui serait elle!

 

Céline me parle d'adelphité mais je préférerais la sororalité de la Pithye de Delphes, car mon esprit est plus féminin que masculin! Être sœur et non frère des femmes, même une pythie delphique peu mais l'autre (donc la femme) plutôt que moi condamné à être homme! 

D'en haut j’entends  à 1 minute 41 dans le premier Dope Tones STRAS SINGLE BY 67100  me semble une version électro clavier drum  du clavier de« Come live with me angel »de Marvin gaye!

Et wobblejay passe un brazil style steppah buntah/ nu tropic dont il fut le bassiste!

Et wobblejay qui a aime aussi la chanson française passe pour finir « On reçoit, on envoie»  des Parisiennes, ressortie par Superfriends Records,  chanson anti-foot  que je danse entre Audrey rouge et Chloé verte puis « Une mouche sur la bouche »  à Polnaref au petit matin!

 

Et pour la suite Dope Tones à la Biennale (https://www.facebook.com/events/1229965233838025/ ) rue schwenger ce  jeudi de  21 h  a  1 h du matin!

Jean Daniel BURKHARDT